Avec “La petite sirène”, Manon Amacouty s’interroge sur la vie face à l’absence d’un être cher et comment l’adolescent vit le passage à l’âge adulte.
Interview réalisée par Céline Latchimy-Irissin.
Un premier film pour celle qui a fait ses études à l’ESRA Paris en 2015. De retour sur son île, Manon Amacouty s’est alors tournée vers le dispositif “Talent la kour” qui l’a aidé dans l’écriture du scénario de “La petite sirène”. Le point de départ ? “La perte d’une amie à moi…” confie-t-elle.
“Je me faisais une idée de ce que c’était que de faire un film car j’avais lu et appris des choses à l’école. Mais une fois que tu y es, tu vois un peu ce que c’est que la réalité” se remémore la jeune femme. Dix jours de tournage, un mois de montage image et trois semaines de mixage son… Comment a-t-elle vécu cette première expérience cinématographique ? Comment s’est passé le pitch au Comedy club ? Qu’en était-il de la préparation du tournage ?
Aujourd’hui, la jeune cinéaste travaille sur un second court métrage : “La baleine”. Un film “avec des enfants. Ce sont des points de vues que j’adore. Ils ont compris tellement plus de choses que nous, en grandissant, on oublie… La première préparation aura lieu en septembre 2021. J’espère vraiment tourner en mai 2022. J’ai d’autres petits projets à côté mais c’est de l’animation ; et là je découvre vraiment un autre monde qui est vraiment très long” dit-elle, souriante.
L’interview de Manon Amacouty, sur “La petite sirène” :